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Jusqu'à la fin du 18e siècle, l'activité est dominée par les préoccupations militaires, la navigation n'y trouvant place qu'au gré du développement du port de Rouen.
Entre les deux Guerres mondiales, le trafic de marchandises diverses poursuit sa progression avec surtout le trafic pétrolier et les grands paquebots de ligne français ("Normandie") et étrangers.
A la suite de la deuxième guerre mondiale, le port sera quasiment détruit. La reconstruction est décidée sur la base du plan-masse de 1939, pour s’achever en 1965.
Progressivement est ensuite ouvert un canal maritime (futur grand canal du Havre) qui va permettre une desserte par navires de mer de la vaste plaine alluviale où s'implantent de nouveaux complexes industriels.
Le trafic de conteneurs connaît une forte progression (passant de moins de 100 000 à 2 millions d'EVP). Plusieurs terminaux sont construits notamment pour recevoir les porte-conteneurs de l’époque (capacité : 6 à 8 000 EVP) :
La très forte demande de pétrole brut avant le "choc pétrolier" de 1973 conduit le port et la Compagnie Industrielle Maritime (CIM) à programmer la réalisation d'un terminal spécialisé pour accueillir les super–tankers de 550 000 tpl : 1975, le terminal pétrolier d’Antifer est mis en service.
L'an 2000 voit s'ouvrir une nouvelle grande phase de développement avec la réalisation de Port 2000. Premier
port français pour le trafic de conteneurs, Le Havre avait besoin d'un outil portuaire répondant aux
standards européens :
2019 à aujourd’hui : parachèvement du port avec le chantier phase 3 et la création des deux derniers postes à quai.