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Cette première phase d’étude a permis de conforter l’intérêt du territoire normand et de ses ports en particulier pour les acteurs de l’éolien offshore.
Une deuxième phase s’ouvre désormais : les études techniques, qui définiront les travaux à mener pour fournir des espaces « clé en main » aux acteurs de la filière. A ce jour, HAROPA PORT a recensé trois sites : Antifer, Honfleur et Port-Jérôme.
Cette candidature, qui se fait en forte complémentarité avec le port de Cherbourg, contribuerait à inscrire la Normandie dans un écosystème industriel d’envergure international.
Les résultats des études techniques constitueront les éléments d’une éventuelle candidature à l’appel à projets que l’État ouvrira dans les mois à venir.
Pour mémoire : l'éolien flottant consiste à installer les éoliennes offshore sur des flotteurs plutôt que des fondations. Il permet donc d'accéder à des zones au large, où l'éolien offshore posé est difficile à déployer.